Afin de répondre à son objectif de réduction du volume de textile envoyé à l’enfouissement, l’entreprise développe actuellement un projet de biotechnologie permettant d’utiliser les textiles non valorisables pour décontaminer les sols et eaux pollués. Des mycolfiltres, élaborés à partir d’un mélange de fibres textiles recyclées et de matière organique, servent de support à la propagation de champignons ayant la capacité de “digérer” les hydrocarbures pour décontaminer des sites de déversement, des eaux et des sols pollués.